Je ne sais pas vous , mais moi :
- Je n’aime pas les business plans
- Je n’aime pas les budgets qui ne sont jamais complètement alloués
- Je n’aime pas les projets qui n’avancent que très lentement
- Je n’aime pas les décisions prises pour plaire aux actionnaires plus que pour créer de la valeur durable
C’est pour ça que, il y a quelques années, j’ai quitté mon job de Global Executive VP du groupe Altran pour me lancer et créer mon propre cabinet de conseil.
C’était la fin d’une longue histoire : 25 ans pour progresser d’un job de jeune ingénieur jusqu’au confort et aux confortables rémunérations du Comité de Direction.
Fin d'une histoire - Début d'une aventure
Le métier de consultant, je le connaissais bien. Je l’ai exercé pendant des années. J’ai créé, dirigé et développé l’activité de conseil au sein du groupe Altran. J’ai constitué une équipe européenne d’une centaine de consultants que j’ai formés et coachés …
Mais tout seul …
Sans le nom d’Altran …
Sans l’accès facile à tous les clients …
Ça allait se passer comment ?
Pas très bien, forcément !
Il m’a fallu comprendre que je ne pouvais plus adresser les mêmes clients.
Même si j’arrivais à les rencontrer.
Même s’ils étaient intéressés.
Ça ne se concrétisait jamais !
Il a fallu quelques mois pour faire ce constat. Quelques mois pour trouver les bons clients et la bonne façon de les approcher.
Mais ça, ce n'était pas le pire ...
Le pire c’est que je suis tombé dans le piège que j’avais signalé, pendant des années, à tous les consultants que j’avais formés :
Le besoin de se rassurer
Le besoin de se rassurer qui fait qu’on parle de soi, de ce qu’on a fait, de ce qu’on sait faire, de toutes nos compétences et expériences extraordinaires, de la super méthode qu’on a développée …
Et quand on fait ça,
on se rassure, c’est vrai, mais on ne signe pas de contrat !
Il a fallu quelques mois encore pour sortir de là.
Reprendre conscience que toute mon expérience était un acquis suffisamment perceptible pour qu’il n’y ait pas besoin de l’afficher.
Tirer un trait sur les super-présentations que j’avais passé des heures à peaufiner.
Et recommencer à aborder mes prospects comme je les avais toujours abordés.
Et comme j’avais toujours abordé mes hiérarchiques quand j’étais salarié et que j’avais envie qu’ils me confient de nouvelles missions ou de nouvelles responsabilités :
Sans parler de mes compétences.
Sans même essayer de les faire parler de leurs besoins, contrairement à ce que l’on entend dire souvent.
Je préfère parler de leurs difficultés.
Celles dont ils n’ont pas forcément conscience.
Celles qui ne sont pas encore devenues des besoins.
Celles pour lesquelles ils n’ont pas encore commencé à chercher des solutions
Et surtout je préfère les faire parler de ce qui se passerait si ces difficultés étaient réglées …
C’est comme ça que j’ai fait ma carrière, c’est comme ça que j’ai développé mon activité :
En aidant les autres à rêver et à faire que leurs rêves deviennent une réalité !
C’est comme ça que je fais de mes propres rêves une réalité :
Une entreprise suffisamment prospère pour que je puisse consacrer une grande partie de mon temps à me resourcer dans des nouveaux challenges …. tant professionnels que personnels !
C'est comme ça que, depuis 9 ans, mon rêve devient réalité !
Et vous ? Ils ressemblent à quoi vos rêves ?
Et comment vous y prenez-vous pour les réaliser ?
On en parle ? J’ai peut-être quelques tuyaux à vous donner …
Il suffit pour cela de cliquer sur le bouton pour me contacter :